Malgré des moyens modestes, la Francophonie a réussi à relancer l’économie dans certains domaines, surtout l’artisanat, en cherchant à optimiser les capacités locales : par exemple, la mise en place d’une filière de récupération et de transformation de déchets d’aluminium au Sénégal, ou encore la valorisation d’une filière d’artisanat d’art au Burkina Faso. Ainsi au cours de ces dernières années, la Francophonie a commencé à capitaliser une somme de savoir-faire et ainsi une grande expérience en coopération et de développement nord-sud.
Certains États ont même développé des savoir-faire particuliers : c’est le cas par exemple du Québec, expert en matière d’économie mutualiste, ou encore de la Tunisie, dont le Fonds national de solidarité a inspiré la création du Fonds mondial de solidarité qui fait partie du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) ; Et si l’on regarde les chiffres précédemment évoqués, l’espace économique francophone n’est pas insignifiant.
Cependant, il lui reste de nombreux défis pour faire le poids sur la scène internationale, et on sait déjà que le plus flagrant d’entre eux sera le développement de l’Afrique, laquelle est pourtant le continent le plus francophone du monde.
Certains États ont même développé des savoir-faire particuliers : c’est le cas par exemple du Québec, expert en matière d’économie mutualiste, ou encore de la Tunisie, dont le Fonds national de solidarité a inspiré la création du Fonds mondial de solidarité qui fait partie du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) ; Et si l’on regarde les chiffres précédemment évoqués, l’espace économique francophone n’est pas insignifiant.
Cependant, il lui reste de nombreux défis pour faire le poids sur la scène internationale, et on sait déjà que le plus flagrant d’entre eux sera le développement de l’Afrique, laquelle est pourtant le continent le plus francophone du monde.
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